Les contes de la folie ordinaire sur un bureau mal rangé, à côté d’une batterie et d’une araignée. Je me souviens de tout, presque de tout, de la barque, des poupées, du synthé et de cette île, en plein milieu de la Normandie. Quand je suis dans les ruines du château, je l’aperçois cette île, mais pas la maison, comme si elle n’avait jamais existé, comme si c’était un mirage. Seul le livre me prouve que je ne l’ai pas rêvée, cette maison.

Publicité

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s