Je pourrais vivre pour toujours, ce serait bien commode.

Je prendrais le train le plus long,
le plus lent,
je voyagerais au dessus des mers,
mille fois le tour de la terre.

Il n’y aurait plus de melons,
que des volcans de confiture,
d’immenses éponges carbonisées
d’où s’échappent l’odeur acide
des framboises boisées.

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