Les biches leur ont encore chatouillé les omoplates
et les moutons ont trouvé refuge au creux de leurs coudes.
Les hommes ont trouvé astucieux de les enlacer de routes goudronnées,
jusqu’à dévaler leurs vallées.
Tantôt nus, tantôt poilus,
les monts se transforment à la lumière que l’aurore braque sur eux,
jusqu’à ce qu’ils ferment leurs yeux de crapauds désabusés.